Appelée aussi « ABCD de l’égalité » dans l’éducation nationale, ou « études du genre » ou encore « lutte contre les stéréotypes » pour tenter de faire plus crédible.

 

Mise au point

La théorie du genre n’est pas claire dans les médias, on essaie de nous embrouiller. Donc remettons les choses à plat.

 

Définition claire

La théorie du genre est le postulat que le sexe biologique d’un individu ne détermine en aucun cas son comportement. Les genres (liés a des comportements) typiquement masculins (plus agressif, entreprenant, compétiteur, etc..) et féminins (plus prudente, sociable, maternelle, etc..) ne seraient qu’une construction sociale. L’éducation serait donc le seul et unique facteur amenant les garçons à aimer le foot et les filles la poupée.

Pire encore, il n’existerait pas non plus d’attirance sexuelle naturelle. L’hétérosexualité ne serait donc pas normale mais uniquement le fruit de l’éducation.

 

Science contre théorie

On peut facilement démontrer qu’il y a des différences comportementales entre hommes et femmes : il suffit d’un exemple. La science a déjà prouvé maintes et maintes fois que les hormones influaient sur le développement et le fonctionnement du cerveau. Par exemple, les dérivés de la testostérone (comme la dihydrotestostérone) agissent sur les neurostéroides, qui agissent eux-mêmes sur la plasticité du cerveau, le comportement, les émotions, etc.. En clair : le cerveau réagira et s’adaptera différemment pour deux individus faisant face à la même situation, dans le même environnement, mais avec un profil hormonal différent.

Les partisans de cette théorie, eux, ne pourront jamais prouver qu’il n’y a pas de différences, simplement car il faudrait mener des études sur tout le monde, dans toutes les situations et environnements possibles.

L’hypothèse d’une indifférence de comportements entre les deux sexes est donc déjà absurde, puisqu’on ne pourra jamais la prouver.

 

Féminisme et théorie du genre

We Can Do It!

Il existe globalement deux branches du féminisme.

Le féminisme authentique, qui réclame les mêmes droits que les hommes : égalité devant la loi, égalité au niveau des opportunités (études, embauche, entreprenariat, etc..) Ce combat est gagné. Les femmes peuvent faire exactement les mêmes choses que les hommes, dans tous les domaines, et c’est tant mieux.

L’autre branche du féminisme est le féminisme radical. Ce mouvement extrémiste estime que toute différence de résultats entre hommes et femmes est dû à une oppression subie par les femmes, de la part de la société patriarcale (donc de la domination masculine).

Les anciens arguments pour justifier ça ne tiennent plus: les chiffres des violences conjugales et des soi-disantes inégalités salariales sont bidons. Les femmes ayant les mêmes opportunités, il a donc fallu trouver une autre explication quant à cette divergence de résultats. D’où l’apparition de la théorie du genre.

 

Les hommes aiment la science

Imagineons que plus d’hommes que de femmes deviennent ingénieur (je ne connais pas les chiffres réels). Malgré un recrutement séléctif basé sur concours (donc par rapport au niveau de l’élève, rien à voir avec son sexe), cette réussite ne serait pas dû aux compétences/travail/goûts naturels de chacun, mais uniquement le résultat d’un produit social (l’éducation) qui pousserait subtilement les femmes à ne pas avoir l’ambition ni l’intérêt de poursuivre des études d’ingénieur.

Le féminisme radical utilise donc la théorie du genre pour nier l’existence de différences comportementales biologiques entre hommes et femmes et met donc la moindre réussite sociale et professionnelle des femmes sur le dos de la société patriarcale (donc des hommes), puisque ceux-ci auraient été éduqués de manière privilégiée.

Ce mouvement misandrique, c’est à dire sexiste envers le genre masculin, veut donc priver les hommes d’une partie des fruits de leur travail (concours obtenus en école d’ingénieur par exemple) et réclame donc régulièrement l’instauration d’une forme de privilège (un quota 50/50 par exemple), au nom de l’égalité !

 

Castrer les garçons pour équilibrer

C’est le but de la théorie du genre dans l’éducation nationale : empêcher les garçons de se développer normalement pour permettre aux filles de ne pas se faire naturellement surpasser dans tous les domaines. Pourquoi se fatiguer quand on peut niveler par le bas ?

Personne n’empêche les femmes de devenir maçon. Pourtant peu d’entres elles le veulent. Construction sociale ? Complot du patriarcat ? Ou différences naturelles ?

Les hommes sont physiquement plus forts que les femmes. Ils se tournent logiquement vers des métiers qui requièrent de la force physique et de l’endurance comme la maçonnerie. Un homme sera donc toujours un maçon plus productif (donc mieux payé) qu’une femme. Faut-il castrer les garçons pour que leur musculature ne se développe pas, au nom de l’égalité?

 

Des racines obscures

John Money, Judith Butler et Albert Bornstein (devenu Kate)

John Money, Judith Butler et Albert Bornstein (devenu Kate)

La thèse initiale réfutant l’existence des genres provient du docteur John Money, un sexologue et psychologue néo-zélandais dans les années 50. Oublions sa pédophilie avérée et passons directement à son expérience tragique l’ayant rendu célèbre.

 

Quand la théorie rencontre le réel

Un couple a eu deux jumeaux et les a fait circoncir à la naissance. Manque de bol, l’une des deux opérations foire et l’un des deux enfants, David, a le pénis brûlé. Money saisit donc l’occasion pour prouver que ses hypothèses sont valables. Il propose aux parents d’élever David comme une fille et de lui faire suivre un traitement hormonal ainsi qu’une ablation des testicules.

Résultat : David est dépressif et attiré par les filles. A 13 ans, il refuse de voir le Dr Money, il se fait prescrire de la testotérone a 15, puis se fait reconstruire un pénis chirurgicalement. Il devient alcoolique et schizophrène. Ses parents flippent et lui révèlent la vérité. David épousera finalement une femme, puis se suicidera. J’vous dois combien Docteur ?

 

Des anormaux voulant être normaux

Dans les années 90, cette théorie a été ressortie par une philosophe dénommée Judith Butler avec son livre « Gender Trouble » (Trouble dans le genre). C’est une féministe radicale, lesbienne, juive et Américaine. Cette main gagnante lui offre une tribune extraordinaire dans les médias. Il ne lui manquait que la carte de franc-maçonne pour obtenir la Quinte Flush Royale.

Voilà quelques autres noms liés à cette propagande, si vous voulez rigoler : Dorothy Parker Rotschild, Marlene Zuk, Nathan Bailey, Bruce Bagemihl, Anne Fausto-Sterling, Albert Bornstein (devenu Kate), Eve Kosofsky-Sedgwick.

Des profils similaires : mêmes origines, même sexualité déviante, etc..

Ces gens là n’ont pas trouvé leur place dans ce monde normé (homme / femme / hétérosexuel). Ils veulent donc imposer leur système afin que eux-mêmes ne soient plus des exceptions. En tentant de déconstruire les genres, ils déclarent ouvertement la guerre à l’immense majorité de gens ayant trouvé leur place et ayant construit leur identité autour d’eux.

 

Pourquoi le pouvoir fait la promotion de ça ?

Décadence associée à la théorie du genre

Le progrès

Les gens les plus manipulables sont les gens paumés. Comment destructurer quelqu’un ? En supprimant ses repères, son identité.

 

Au service du capitalisme

Une personne est encombrante pour un système marchand ou une entreprise, car elle a des besoins, notamment spirituels, qu’il faut donc gérer. On parlait autrefois de direction du personnel en entreprise, maintenant on parle de direction des ressources humaines. Un employé n’existe, aux yeux de l’entreprise, que parcequ’il représente un ensemble de compétences, et a donc une utilité.

Même chose en tant que consommateur. La personne est un encombrement pour le marketing. Les publicitaires ne visent pas un humain (avec sa complexité et ses besoins), mais une identité : un fan de foot, un musicien, etc..

De plus, détruire les identités sexuelles revient à détruire la famille traditionnelle. Le pouvoir n’aime pas la famille, on l’a compris. (Travail le dimanche, etc..). Les meilleurs consommateurs sont les individus seuls, car le marketing joue sur cette solitude pour vendre du rêve. Deux individus seuls signifie acheter tout en double : deux logements, deux bagnoles, deux frigos, etc..

 

Abattre la religion

Une partie des féministes radicales est très médiatisée : les Femen. Elles haissent les religions car ce sont des structures internationales qui défendent encore l’identité des gens et leur proposent une structuration cohérente. Toute la civilisation chrétienne est fondée sur la dignité de la personne faites à l’image de Dieu. La foi en Dieu est la seule chose impossible à manipuler chez quelqu’un.

 

Vous avez remarqué que les Femen s’attaquent à l’Islam et au Christianisme mais jamais au Judaïsme ni aux synagogues ?

Je vous invite à chercher d’où proviennent les financements et soutiens de ce groupuscule. Moi perso, avec la patrouille Valls et sa loi sur le renseignement, je me défile.